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  • : Le blog de saint-agne
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16 juin 2011 4 16 /06 /juin /2011 16:03

Depuis quelques temps déjà le colonel du 14° régiment d’infanterie de Toulouse ne faisait plus parler de lui. Et comme il vait fourni, dans le passé, tant d’activité pour brimer ses hommes, beaucoup se demandaient s’il était mort ou bien parti.

Mais le colonel du 14° n’était ni parti, ni mort, ni même malade. Il méditait un grand coup, un coup de maitre. Il réfléchissait à la façon dont il recevrait les réservistes !

Or, les réservistes sont rentrés l’autre jour chez lui, à Saint-Agne, et aussitôt le fruit des silencieuses méditations du colonel est apparu au grand jour.

Et tout d’abord il s’est attaqué aux chevaux. Car, dans son plan de campagne, les chevaux des réservistes constituent l’ennemi qu’il faut abattre le premier.

Il a donc ordonné de les exterminer tous jusqu’au dernier, et d’en extirper jusqu’à la racine. C’est pourquoi la tondeuse est la seule arme qu’il veut voir entre les mains des coiffeurs.

Vainement, objectera-t-on, à M. le colonel du 14°, que rien dans les réglements n’oblige à voir les chevaux rasés, et que le service intérieur indique seulement qu’il les faut tenir courts. Encore cela ne vise-t-il que les hommes de l’active. Et tout le monde sait qu’on use d’une plus grande tolérence envers les réservistes sur ce point précis en particulier.

Mais le commandant du 14° ne serait plus le colonel Huc s’il observait les réglements et s’il tenait compte de la tradition. Il veut voir toutes les têtes passées à la tondeuse. Il le veut si bien qu’il a fait passer au rapport d’hier matin, que tout réserviste récalcitrant et qui se révolterait devant l’instrument, serait puni de huit jours de prison et privé de permission jusqu’à la fin de la période ! Ainsi, non seulement ce « père de famille » dépasse le règlement, mais encore il le viole manifestement en ajoutant des menaces officielles qu’il n’a pas le droit de réaliser.

Devant pareil acharnement, le capitaine d’une compagnie, que nous ne nommerons pas pour ne pas le rendre trop ridicule, n’a rien trouvé de mieux, pour être agréable à son chef, que de faire lui-même le figaro. Et on l’a vu hier au soir, à cinq heures, exécuter lui-même, une tondeuse à la main, les ordres abusifs de M. Huc !

Faut-il en rire ou en pleurer ?

Mais la stratégie du commandant du 14° ne s’arrête pas à ces escarmouches. Après cet assaut, livré aux chevaux de ses hommes, il rêve de s’en prendre à leurs dos et à leurs pieds.

C’est pourquoi, deux jours après leur arrivée à la caserne, les réservistes se voient forcés d’endosser l’as de carreau avec le chargement complet, et d’exécuter, avec ce compagnon gênant, des marches et des exercices pénibles que les hommes de l’active n’accomplissent qu’après un entrainement rationel.

C’est ainsi que, dans la journée d’hier, une compagnie a exécuté le matin, à titre d’exercice principal, une marche Saint-Agne/Montaudran, et le soir avec le soleil de plomb que l’on sait, une nouvelle marche Saint-Agne/côte Purpan, soit environ une heure un quart de marche sans faire la moindre halte horaire.

D’habitude, les hommes de l’active, suivant le même itinéraire, font une pause au Fer-à-Cheval. Le règlement d’ailleurs l’ordonne nettement. Mais les réservistes du 14°, deux jours après leur arrivée, semblent à M. Huc inacessibles à la fatigue.

Et ce n’est pas tout encore.

Après avoir rasé les têtes, meutri les pieds et les échines, on veut, en outre, faire crier les ventres et faire languir les femmes.

On sait que l’on accorde aux réservistes mariés la permission de manger et de coucher en ville. Pour obtenir cette permission, on exige un certificat de mariage. Il est délivré d’habitude, à Toulouse, par le dizenier du quartier.

Or, certains commandants de compagnie, sur présentation du dit certificat, se sont permis quelques doutes sur leur sincérité.

« Qui nous assure, on-t-ils déclaré, que les dizeniers ne se trompent pas ? ».

Ceci dépasse les bornes de la plaisanterie permise. Les certificats des dizeniers, en pareille matière, ont toujours été considérés comme documents quasi officiels. Jamais on n’éleva contre eux la moindre objection. Pourquoi donc en suspecte-t-on aujourd’hui ou du moins fait-on semblant de suspecter la sincérité ? Serait-ce par hasard parce que les dizeniers sont socialistes ?

Mais passons, cette défiance injurieuse serait méprisable, si elle n’atteignait pas certains réservistes mariés qui ont éprouvé, de ce fait, quelques difficultés pour aller retrouver le soir leur petite famille.

Et, à ce propos, signalons encore que, en principe, le quartier est libre chaque soir à 5 heures et demie. Fort bien.

Mais ceux qui demandent une permission de spectacle sont obligés d’attendre indéfiniment, à la porte du quartier, que ces permissions soient signées. On ne leur remet qu’à 6 heures un quart ou 6 heures et demie.

Pourquoi ?

Le capitaine n’a pas le temps de les signer plus tôt !

Et comme ces permissionnaires le plus souvent ne mangent pas à la caserne, on retarde d’autant l’heure de leur repas. Nous en avons assez dit pour aujourd’hui. Les faits que nous venons de rapporter, dont nous garantissons l’authenticité, démontrent, surabondamment que le 14° n’a pas changé de maitre et que, si l’on veut être bien traité et se sentir en famille, ce n’est pas au château Saint-Agne qu’il faut aller se loger.

(Midi-Socialiste – 29 août 1912)

 

Nos réservistes au 14°

Nous n’en avons pas fini avec les incartades du colonel du 14°. Nous avons relaté hier avec quel sans gêne il faisait raser la tête des réservistes, et a quel entrainement intensif il les livrait.

Mais cela n’est rien à côté de la mesure qu’il vient de prendre et qui a été signifiée avant-hier 28 courant, à tout le régiment.

Au rapport de ce jour, en effet, une note a paru déclarant que tout homme se faisant porter malade non reconnu par le major serait puni d’un minimum de hiut jours de prison !!!

Nous ne voulons pas insister sur l’odieux arbitraire de cette note. Tout commentaire en affaiblirait l’éloquence et la portée.

Mais tous ceux qui savent avec quelle désinvolture les majors regardent les malades, tous ceux qui savent avec quel esprit préconçu les majors estiment qu’un malade est un « tire au flanc » qu’il faut secouer ; tous ceux-là plaindront les réservistes du 14° et jugeront les conséquences pernicieuses que peut avoir sur la santé de ces pères de famille une aussi injustifiable menace.

(Midi-Socialiste – 30 août 1912)

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27 mai 2011 5 27 /05 /mai /2011 21:52

Comment on est traité au 14° de ligne

Jeudi dernier, un lieutenant du 14° régiment d’infanterie, remplissant les fonctions d’officier de visite des postes, en allant faire sa ronde à la prison centrale de Saint-Michel, avisa une grande caisse scellée au mur qui ne lui parut pas être à sa bonne place. Il donna l’ordre aussitôt à deux soldats qui montaient la garde à cet endroit, d’enlever cette caisse.

Les soldats s’y essayèrent, mais ne purent y réussir.

Il n’en fallut pas d’avantage pour exciter la bile du lieutenant, qui apostropha vigoureusement les soldats, leur jetant quelques insultes à la face. Finalement, échauffé de plus en plus par ses propres paroles, il écarta violemment les soldats, d’un geste si brutal, que l’un d’eux, le nommé Quirbal, de la 4° compagnie, en ressentit un cuisant malaise.

Cette odieuse conduite d’un supérieur envers des hommes obligés de tout endurer, serait passée inaperçue sans la courageuse attitude du sergent de garde Carandini, muet spectateur de la scène, qui signala l’incident dans son rapport du poste.

Devant cette accusation officielle, le lieutenant irascible jugea bon de faire des excuses à la victime.

Mais le soldat n’entend pas qu’on puisse, par ce facil stratagème, éviter les conséquences d’une action repréhensible.

Fort de son droit, il veut faire publiquement réparer l’outrage fait à sa dignité.
L’affaire n’en restera donc pas là. Plainte a été portée contre l’officier si peu gêné et une enquête est ouverte.

Nous verrons si les enquêteurs se montreront plus soucieux de protéger un soldat que de sauver la réputation d’un brutal.

(Midi-Socialiste – 18 février 1912)

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11 avril 2011 1 11 /04 /avril /2011 22:29

Nous apprenons de source sûre, et le « Midi-Socialiste » est le premier à en parler, qu’une épidémie de morve a éclaté à la fois parmi les chevaux du groupe d’artillerie caserné au 14° d’infanterie et dans les écuries du 18° d’artillerie. L’épidémie, il y a huit jours, avait un caractère très grave, surtout dans les écuries du 14° d’infanterie. M. Bourgès fut mandé par téléphone et fut obligé de rejoindre Toulouse depuis Arcachon où il se trouvait. On nous assure que des chevaux ont dû être abattus au 14°.

D’ailleurs, l’épidémie est, maintenant, moins sérieuse, mais il y a toujours échange de rapports entre les autorités et les chefs de service compétents.


(Midi-Socialiste – 9 septembre 1911)

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31 mars 2011 4 31 /03 /mars /2011 11:00

M.J. Vaissière, président honoraire du Comité des fêtes des sous-officiers du 14° R.I. est heureux d’avoir l’autorisation du général commandant d’Armes à Toulouse de présenter dans son Établissement Saint-Agne : deux séances cinématographiques au profit des sous-officiers des 14° et 11° R.I. actuellement au front. La totalité des recettes sera remise au trésorier du Dépôt du 14° R.I. qui les fera parvenir aux deux chefs de Corps.

Toulousains, Agents techniques et ouvriers de la Poudrerie Nationale, Anciens combattants, venez nombreux à ces deux séances. Votre présence honorera nos soldats et leur apportera non seulement une aide matérielle, mais encore un réconfort moral inestimable. Toulouse n’oublie pas les Poilus de nos deux glorieux et fiers régiments.

La date et la composition des programmes de ces deux séances seront communiquées très prochainement par la voie de presse.

(Midi Socialiste – 16 novembre 1939)

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30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 21:58

Inauguration du monument aux morts des 14° et 214° Régiments d’Infanterie.

En raison de l’adhésion de la majorité des Associations d’anciens combattants qui assisteront à ce défilé, le Comité est heureux de constater que tous les anciens combattants, dans un même élan, ont voulu répondre à l’hommage qui sera rendu aux Morts des 14° et 214° Régiments d’Infanterie. Il a été décidé en raison de la longueur du parcours, que les flambeaux seraient portés par deux anciens combattants, sur un canon de 75 attelé sur six chevaux et mis à la disposition du Comité par le colonel Domange, commandant le 117° R.A.L. Le Comité adresse un vibrant appel à la population pour se rendre nombreux sur le parcours du cortège dont nous répétons l’itinéraire ci-dessous :

Départ Arc de Triomphe, boulevard Carnot, place Wilson, rue d’Alsace, rue du Languedoc, grande rue Saint-Michel, allée Saint-Agne, caserne Niel.

Il invite particulièrement les parents à masser le plus grand nombre d’enfants sur le passage du défilé et également à assister à la cérémonie à l’intérieur de la caserne Niel dont l’entrée a été autorisée par M. le colonel Pfister. Il est rappelé aux invalides et grands mutilés qu’un autobus de la T.C.R.T. leur permettra de suivre ce défilé. Un emplacement est également réservé aux automobilistes à l’intérieur de la caserne. Le Comité insiste auprès de la population pour réserver un bon accueil à la carte postale souvenir du monument aux morts des 14° et 214° R.I. qui sera mise en vente au prix de 1 franc.

(Midi Socialiste – 30 octobre 1938)

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30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 21:11

Le comité des fêtes des sous-officiers du 14° R.I organise une soirée avec projection de films le 5 mai 1938, dans la coquette salle du Cinéma Saint-Agne, mise gracieusement à notre disposition par le sympathique et très dévoué M. Vaissière. Le produit de cette fête servira à alimenter les caisses de l’Arbre de Noël des enfants des soldats que nous voulons toujours plus beau, toujours plus fourni.

Les nombreux spectateurs qui se presseront dans la salle Saint-Agne seront assurés de participer à un beau spectacle et à la réussite d’une belle œuvre ; un communiqué ultèrieur donnera le détail du programme.

(Midi Socialiste – 2 mai 1938)

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30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 21:05

M. Jean Fabry, soldat au 14e R.I, a porté plainte pour vol de sa bicyclette, commis le 26 courant dans le couloir de la deuxième compagnie, à la caserne Niel.

(La Garonne – 29 janvier 1938)

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30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 20:59

A Toulouse : 14e d’Infanterie bat le 7e Spahis de Montauban par 6 buts à 1.

Cette finale, jouée sur le terrain du Bazacle, s’est terminée par la victoire des fantassins sur un score qui aurait pu être plus élevé.

Après une attaque brusquée des visiteurs, arrêtée devant les filets toulousains par leur goal Delpy, ces derniers, à leur tour, ont pris l’offensive et disposé de leurs adversaires jusqu’à la fin de la première mi-temps, durant laquelle ils ont réussis à marquer 4 buts, dans le style le plus pur, par des passes rapides et précises, favorisées par les indécisions et les lenteurs des demis Montalbanais.

A la reprise, ces derniers, modifiant leur tactique première, alors qu’ils s’étaient cantonnés dans une stricte défensive, se sont décidés à attaquer, et pour la première fois, trompant la vigilance du goal Delpy, ont marqué un but et sauvé ainsi l’honneur de leur Club.

Les Toulousains, surpris et souffrant du grand effort qu’ils avaient produit jusqu’ici, ont réagi vigoureusement et, utilisant encore leur grande vitesse d’ensemble, ont réussi 2 buts, qui auraient pu encore être augmentés sans les renvois sûrs et puissants de leurs deux arrières,

d’Hauterive et Clément, et l’incomparable ardesse de leur goal Martinelli.

A Toulouse, tous sont à féliciter, avec une mention spéciale pour les marqueurs de buts, l’ailier gauche Tari, l’avant centre Marqué, ainsi que l’ailier droit. Se sont également fait remarquer :

l’inter gauche Ramons, l’inter droit de Nicolas, ainsi que le demi droit Aubert.

(L’Express du Midi – 22 janvier 1938

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30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 19:49

Il est l’occasion d’une magnifique manifestation d’amitié franco-yougoslave.

Toulouse, 19 décembre.

Le congrès dans une dernière séance générale, que présidait le sympathique et actif président du groupe toulousain, M. Ginoulhac, a adpoté les vœux qui avaient été étudiés et adoptés samedi, dans les diverses commissions et que nous avons déjà énumérés.

 

La prise d’armes

Puis on s’est rendu dans la cour d’honneur de la caserne Niel, où une compagnie du 14e d’infanterie, avec le drapeau et la musique, étaient sous les armes et le commandement du colonel Pfister, commandant le régiment.

A 10h30, les Poilus d’Orient, par rangs de quatre, faisaient leur entrée au son d’une vibrante « Marseillaise », précédés de leur drapeau et de ceux de leurs divers groupements régionaux, et se rangeaient, en bon ordre, face à la troupe.

Immédiatement après, c’était l’arrivée du général Ménard, commandant la XVIIe région, accompagné du général d’Amade, la poitrine barrée du grand cordon rouge liseré de bleu de « l’Aigle Blanc » de Serbie, et du commandant d’artillerie Péritch, de l’armée Yougoslave, à Paris. Ils sont salués par la sonnerie réglementaires : « Aux champs », et passent la revue de la compagnie d’honneur.

 

Remise des décorations

Tout de suite après les deux généraux et l’officier Yougoslave, dont on admire la martiale allure sous la longue capote grise de son uniforme, viennent se placer, face aux drapeaux des associations régionales des Poilus d’Orient, et après la sonnerie : « Ouvrez le ban ! », le commandant Péritch décore de la cravatte de commandeur de la Couronne Yougoslave, les drapeaux des comités des Poilus d’Orient de la Haute-Garonne, Blagnac, Carcassonne, des Pyrénées-Orientales, de l’Hérault, de l’Ariège et de Narbonne.

Le commandant Péritch accompagne son geste des plus nobles paroles. « Il l’accomplit dit-il, en exécution du testament du roi Alexandre I de Yougoslavie, du roi Pierre actuellement règnant, et des régents royaux ». Il salue ensuite les Poilus d’Orient, « dont les vertus, souligne-t-il, ont couronné l’œuvre de liberté du peuple Yougoslave ». Il apporte l’hommage de reconnaissance et d’amitié de son pays à tous les braves Poilus d’Orient. « dont le sang versé sur le sol Yougoslave a si largement contribué à la liberté, à l’unification et à la grandeur de sa nation ».

Après cette première cérémonie, le commandant Péritch a remis des décorations à un certain nombre de Poilus d’Orient et de personnalités toulousaines dont les noms suivent :

A M. Pierre Ginoulhac, président des Poilus d’Orient, et à M. François Sire, secrétaire général, la cravatte de commandeur de la couronne Yougoslave.

A notre collaborateur Louis de Ferrand-Puginier, qui a publié dans l’Express une série d’articles sur la Yougoslavie ; à M. Lahondès, avoué à la Cour d’appel ; au docteur Chalot, rédacteur de la Dépêche ; au docteur Arnaud, la décoration d’officier de la Couronne de Yougoslavie. A M. Moïsset, à M. Louis de Ferrand-Puginier, à M. Viala, secrétaire général des P.O, du Tarn, la décoration d’officier de l’ordre Yougoslave de Saint-Sava.

L’hymne Yougoslave, joué par la musique du 14e d’infanterie, a clos cette brillante cérémonie, après un défilé des Poilus d’Orient et des jeunes toulousains de la préparation militaire.

 

La messe

De la caserne, on gagne l’église toute proche, dont le distingué pasteur, M. l’abbé Couzier, curé de Sainte-Germaine, lui-même ancien P.O, reçut ses camarades sur les marches du péristyle, puis leur adressa, du haut de la chaire, le plus délicat et le mieux pensé des discours. Et, pendant cette office, où les Poilus d’Orient ont montré qu’ils pratiquaient le culte de l’amitié et de la camaraderie de la meilleure manière, MM. Despax, de Froment, Enjalbert, Ustova, Jean Laporte, Mme Marty, organiste de Sainte-Germaine, et Mme Cassagneau, qui a une voix charmante, exécutèrent un très beau programme musical.

(L’Express du Midi – 20 décembre 1937)

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30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 19:42

Les soldats Jean Viviani, Joseph Barea et Mathieu Donando de la Cie C.AA.I du 14° d’infanterie à Saint-Agne, ont porté plainte pour vol de leurs effets civils qui se trouvaient dans leurs malettes déposées au magasin de la Cie.

(Midi Socialiste – 1 novembre 1937)

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