Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Le blog de saint-agne
  • : Faits divers du quartier Saint-Agne Toulouse
  • Contact

Recherche

Pages

30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 15:42

A 3h et 9h : « Maria Chapdelaine » avec Jean Gabin et Madeleine Renaud.

(Midi Socialiste-1 novembre 1936)

Partager cet article
Repost0
30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 15:39

L’équipe du Football-Club Wonderland qui, après la dernière fusion connue s’est révélé de toute première valeur, rencontrera dimanche prochain 11 octobre, les réserves du T.O.E.C aux Parcs des Sports. N’oublions pas que dimanche dernier, le Stade (2) champion de France, a dû s’incliner devant les gars de Saint-Agne, qui sont d’ailleurs en Honneur, comme chacun sait. Les réserves Toécistes qui se présentent cette année redoutables leur donneront une belle réplique.

(Midi Socialiste – 9 octobre 1936)

Partager cet article
Repost0
30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 15:37

Le comité organisateur de la société porte à la connaissance des membres actifs et aux nouveaux membres ainsi qu’aux personnes que la Colombophilie intéresse, que le siège de la Société se trouve au Grand Café de la Gare Saint-Agne. Toute demande d’adhésion doit être adressée à M. le secrétaire de la Société Colombophilie « Les Amis Toulousains » café Galy, 72 allée Saint-Agne à Toulouse.

Les personnes élevant des pigeons voyageurs que le décret-loi du 30 octobre 1935 les obligent de faire partie d’une société, trouveront au sein des « Amis Toulousains » tous les renseignements concernant la Colombophilie, en vue de la déclaration et du recensement des pigeons voyageurs et de la tenue à jour de leur carnet de colombier de plus des conseils leurs seront donnés en vue de l’élevage et de l’entraînement de leurs pigeons en vue des futures épreuves pour l’année 1937.

(Midi Socialiste – 6 octobre 1936)

Partager cet article
Repost0
30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 15:35

20h réouverture : « Rythmes d’amour » avec Mac Laglen et l’orchestre Duke ellington.

(Midi Socialiste – 29 août 1936)

Partager cet article
Repost0
30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 15:27

Le club cyclo-pédestre du nom de notre sympathique président (George Hyon) se courra à Toulouse le 22 mars à 9h30. Il sera le clou de la saison, et prélude à la saison sur route qui va s’ouvrir le 12 avril, par l’éliminatoire du Grand Prix de l’Humanité. Le parcours ou plutôt le tracé de ce cross cyclo-pédestre est le suivant :

Départ : avenue Général Verdier, chemin Saint-Roch, chemin de ronde des Casernes, rue du Férétra, chemin de Lacroix-Falgarde, petit chemin de Pouvourville, chemin de Fondeville, chemin de la Plaine, chemin des côtes de Pech-David, chemin des Oliviers, chemin de la Salade, grande côte de Pouvourville, chemin creux de Pouvourville, route n°113, Saint-Agne arrivée.

Les quelques toulousains qui connaissent les chemins qui sillonnent les côteaux pourront voir l’effort que devront fournir les coureurs pour les franchir et déjà les Sociétés engagent leurs meilleurs coureurs pour conquérir le trophée. Ainsi que les nombreux prix qui leur seront attribués.

La société détenante du challenge, l’Iris, est prié de veiller au grain, si elle veut le garder. Les sociétés affiliées au Comité Régionale du Midi sont priées de faire parvenir l’engagement de leurs coureurs au cabinet de notre camarade Hyon, mairie de Toulouse.

(Midi Socialiste – 16 mars 1936)

Partager cet article
Repost0
30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 15:18

Pour la deuxième année, le Toulouse Vélo Club organise le 5 janvier prochain un cross cyclo pedestre sur une distance de 15kms et dénommé « René Gaubert » en souvenir d’un membre du club. Le parcours qui comprend l’escalade des Côteaux de Pech-David a été judicieusement choisi par les organisateurs. Le départ aura lieu à 14h30 au siège du T.V.C. où seront jugées les arrivées, café Galy, 72 allée Saint-Agne.

(Midi Socialiste – 3 janvier 1936)

Partager cet article
Repost0
30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 15:13

Au cours de la nuit dernière, les quartiers de Saint-Agne et de Rangueil ont été le théatre de sanglants évènements. Pendant la fête de Rangueil, un homme a été assailli à coups de tessons de verre par un groupe de jeunes gens et deux heures après ont été mitraillés par un automobiliste, et l'un d'eux, qui a eu le foie et le rein traversés par une balle, est dans un état très grave.

 

Une première bagarre.

Dimanche, à 11 heures, la « refête » du quartier de Rangueil, qui de déroulait sur la place des Avions, battait son plein.

Parmi les assistants, se trouvait M. François Garcia, âgé de 25 ans, chaffeur d'auto au service de M. Enrico Ruiz, et demeurant 44 place d'Italie. Il faisait partie du comité organisateur et veillait à la bonne marche de la fête.

Soudain, son attention fut attirée par un attroupement qui venait de se former à proximité d'un café. Il se dirigea aussitôt de ce côté pour se rendre compte de ce qui venait de se passer.

Un petit différent, comme cela se produit quelquefois au cours des « baloches », venait de s'élever entre deux groupes de jeunes gens et menaçait de dégénérer en bagarre. M. Garcia voulut alors s'interposer et exhorta les antagonistes au calme.

Mal lui en prit ! Deux de ces derniers, Jean Costes, 25 ans, ouvrier en chaussures, demeurant 50 rue du Férétra, et Paul Saccareau, 26 ans, manoeuvre, 11 allée Saint-Michel, qui se trouvaient alors en compagnie de Jean Cevennes, âgé de 24 ans, demeurant allée Saint-Agne, se jetèrent sur lui, le précipitèrent à terre, et avant qu'il eut le temps d'esquisser le moindre geste de défense, le frappèrent sauvagement à coups de tessons de verre.

Le garde champêtre du quartier intervint aussitôt et mit fin à cette scène de violence. Blessé au visage et aux épaules et perdant son sang en abondance, Garcia déclara tout d'abord ne pas vouloir porter plainte.

Il fut alors transporté à l'Hotel-Dieu, à l'aide de l'ambulance municipale, et admis salle Saint-Lazare. Son état, bien que sérieux, n'inspire aucune inquiétude.

L'incident paraissait clos, et la fête reprit.

 

Des coups de feu dans la nuit.

Mais la nouvelle de cette agression s'était répandue dans le quartier comme une trainée de poudre et était parvenue aux oreilles d'Antonio Ruiz, âgé de 32 ans, limonadier, place d'Italie et 50 avenue des Docks (avenue Aristide Briand), frère du patron de M. Garcia.

Y avait-il entre lui et les agresseurs une vieille rancune ? Avait-il été l'objet de la part de ces derniers, comme il l'a déclaré, de menaces de mort ? Les jeunes gens avaient-ils, lors de la précédente fête sur la place d'Italie, commis de dépradations chez lui, comme certains habitants du quartier l'ont prétendu, et avait-il gardé contre eux un vif ressentiment ? Et cette bagarre fut-elle, dès lors, le fait décisif qui détermina la volonté de vengeance ? Autant de points que l'enquète s'efforcera d'éclaircir. En tout cas, dès qu'il eut connaissance de la bagarre, il monta dans sa voiture et partit à la recherche des agresseurs de l'ouvrier de son frère. Après avoir roulé pendant plus d'une heure, il circulait sur l'allée Saint-Agne, en direction de ville, lorsque, au coin de la rue Capus, il crut les reconnaître dans un groupe de jeunes gens qui rentraient chez eux.

Il y avait là, notamment, Sacarreau, Cevennes, en compagnie de deux camarades: Jean Rivals, 19 ans,  charpentier en fer, demeurant 90, chemin Saint-Roch et Roger Bernard, 21 ans, ouvrier à l'O.N.I.A,  domicilié 17 rue de la République.

Il était 1 h.30 du matin, les jeunes gens se séparer. L'automobiliste ralentit son allure, se rapprocha du groupe et quand il fut à sa hauteur, « se croyant menacé », a-t-il dit par la suite, il tira le revolver qui se trouvait dans la poche d'une portière et par sept fois fit feu sur les jeunes gens, puis il accélera son allure et disparut en direction du chemin du Préfet.

Bernard fut atteint aux orteils du pied gauche; Cevennes eut le bras droit traversé, et Rivals fut grièvement atteint à l'abdomen. Seul Sacarreau qui avait eu la présence d'esprit de se coucher ne fut pas touché.

Un automobiliste de passage transporta les blessés à l'Hotel-Dieu. Après avoir reçu les premiers soins, Cevennes rentra chez lui. Ses deux camarades furent hospitalisés salle Saint-Lazare.

Rivals, le plus gravement atteint, fut opéré d'urgence par les docteurs Pommepuy et Dambrin fils. Il avait eu le foie et le rein traversés et son état est considéré comme très grave.

 

La police à l'oeuvre

La police fut avisée, M.Brezet, commissaire du sixième arrondissement, et M. Blaise, chef de la sureté, se rendirent au chevet des blessés et ouvrirent aussitôt une enquête.

Les policiers parvinrent très rapidement à reconstituer la génèse du drame et identifièrent l'auteur des coups de feu.

L'inspecteur Dhers, le brigadier Ramondou, le sous-brigadier Loubère et l'agent Castagné agissant sur les directives de leur chef, arrétèrent, dès 5 heures du matin, Antonio Ruiz qui était tranquillement allé se coucher.

Poursuivant leurs investigations, les enquéteurs arrêtrèrent également les agresseurs de Garcia: Sacarreau et Costes. Ces deux individus ont été reconnus par leur victime, mais prétendent n'avoir pas frappé avec des tessons de verres. Toutefois, les blessures de Garcia ne peuvent avoir été provoquées qu'avec un objet de cette nature.

Les trois individus ont été présentés, dès lundi matin, à M. Molinier, juge d'instruction et écroués à Saint-Michel ; Ruiz sous l'inculpation de tentative de meurtre, Sacarreau et Costes pour coups et blessures graves.

Sur les lieux du drame on a retrouvé les douilles de spet balles ; L'arme, un pistolet automatique de 7 m/m 35 a été saisie et sera déposée au greffe de tribunal, ainsi que les tessons de verres utilisés par les agresseurs de Garcia.

L'enquête est activement poursuivie en vue de déterminer les causes profondes du drame. Diverses comminssions rogatoirs ont été lancées par le juge d'instruction.

(La dépêche – 9 juillet 1935)

Partager cet article
Repost0
30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 15:12

Œillet rouge

C’est aujourd’hui que l’œillet Rouge fera disputer pour la quatrième année son challenge d’athlétisme. Cette compétition sportive se déroulera sur la piste du Champ-du-Loup et commencera à 9h pour se continuer l’après-midi à 14h30, et s’onnonce d’ores et déjà par la qualité et la quantité des athlètes y participant comme devant connaître un gros succès. Tous les clubs locaux seront présents ainsi que l’Églantine Graulhétoise et le Club Jean-Jaurès de Montauban. Il faut donc prévoir pour la conquète de la coupe qui dote ce challenge, une lutte ardent, mais toujours loyale et cordiale, comme il est d’usage de la pratiquer dans notre mouvement.

Nous avons donné hier la composition de l’équipe graulhétoise, voici aujourd’hui celle de l’œillet (maillots noirs bordés blanc)

100m : Porterie, Thierry

400m : Guiraud, Roquemorel

1500m : Fraysse, Moreno

Hauteur : Burmeister, Rastouil ou Vergnaud

Longueur : Assalit, Vergnaud

Poids : Burmeister, Barthélémy

Disque : Burmeister, Mader

Relais : L’équipe sera formée au dernier moment.

Le bureau de l’œillet n’a reculé devant aucun sacrifice, de nombreux prix viendront récompenser les athlètes ayant obtenu un bon classement dans les épreuves. A 18h, café Galy, apéritif d’honneur au cours duquel aura lieu la remise des prix.

Le comité d’organisation est composé comme suit :

Secrétaire : Desplau, Rives

Chronomètreur : Joseph Fernand

Juge à l’arrivée : René Desbals

Starter : Derousseau père ou Vergnaud

Contrôleurs : Belbeze, Amadieu, Brocquisse, Cayrol, Mothe.

Rappelons que cette manifestation est placée sous la présidence des camarades Ellen Prévot, maire de Toulouse, Hyon, Dominique Rieu, Rogalle, adjoints ; Paillès, Peyrat, Daurlac, Pons, Falandry, Henri Desbals, conseillers municipaux ; Forgues, Cazeneuve de la Bourse du Travail ; des membres du bureau du C.R.M ; des syndicats ; des coopératives de la section toulousaine et des jeunesses.

(Midi Socialiste – 23 juin 1935)

Partager cet article
Repost0
30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 15:11

Le conseil d’administration de l’Amicale, rappelle à la population des quartiers Saint-Agne,

Saint-Roch, Rangueil, Sauzelong, Gravette que depuis le 1 février des garderies dans les écoles primaires de jeunes filles (Ricardie, Jules Julien) fonctionnent tous les jeudis, sous la surveillance de dames rompues à ce délicat travail. Des cours de couture et repassage alternant avec divers jeux, leur sont donnés par des professeurs diplômés et bien connus des élèves.

Au point de vue artistique, garçons et filles reçoivent pendant les heures de classe des leçons de solfège et de chant par des professeurs pour lesquels nous avons obtenu les autorisations des pouvoirs académiques et dont la haute valeur professionnelle fait l’admiration de tous.

Sur notre terrain de jeux du groupe scolaire de Rangueil, les jeunes gens de nos écoles de quartier, munis de l’autorisation de leurs parents, et qui désireraient faire de l’athlétisme, de la gymnastique et de l’éducation physique, peuvent tous les jeudis après-midi retrouver leurs petits camarades d’école, dont les parents nous ont déjà fait l’honneur de nous les confier, le professeur déjà bien connu de tous, a toutes les qualités professionnelles pour canaliser ses élèves dans le sports qui conviendront le mieux à leur constitution physique.

Cela constitue un gros effort pécunier, pour lequel notre modeste trésorerie ne nous aurait pas permis de faire face, si M. le Préfêt en date du 16 novembre 1934, ne nous avait autorisé à organiser une tombola en faveur de l’œuvre, dont le tirage aura lieu le 19 mai prochain en présence de M. le commissaire de police du 6° arrondissement, dans la salle des fêtes Jules Julien.

Il nous reste quelques billets : que les amis de la laïcité, de l’école publique, de notre œuvre, qui veulent nous aider dans notre tache, réservent bon accueil à notre délégation, qui se présentera dimanche 7 avril sur différents points de la ville.

(Midi Socialiste – 7 avril 1935)

Partager cet article
Repost0
30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 15:06

…Les sociétaires à qui le tennis intéresse seront heureux d’apprendre que sous peu des travaux seront entrepris sur le nouveau terrain de Saint-Agne pour l’établissement de deux jeux de tennis…

(Midi Socialiste – 20 janvier 1935)

Partager cet article
Repost0